Réforme du DPE : un nouveau modede calcul au 1er janvier 2026

Le mode de calcul du Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) va évoluer à compter du 1er janvier 2026. Cette révision, annoncée par un arrêté du 9 juillet par le Premier ministre, a pour objectif d’améliorer l’étiquette énergétique de nombreux logements en France et de corriger certaines inégalités dans le système actuel.

Concrètement, le coefficient de l’électricité, actuellement fixé à 2,3, sera abaissé à 1,9. Cette évolution permettra de mieux refléter la réalité du mix énergétique français, dans lequel l’électricité est une énergie fortement décarbonée, contrairement au gaz ou au fioul importés.

En conséquence, 850 000 logements du parc français sont concernés par cette réforme. Aucun logement ne verra son étiquette baisser : au contraire, certains logements chauffés à l’électricité bénéficieront d’une meilleure notation DPE.

Un impact direct pour les bailleurs et investisseurs

Cette évolution constitue une bonne nouvelle pour les bailleurs.

Jusqu’à présent, les logements alimentés en électricité étaient désavantagés par rapport à ceux chauffés au gaz ou au fioul. Le nouvel abaissement du coefficient corrige cette inégalité et permettra d’améliorer la performance énergétique affichée de nombreux biens.

Selon les estimations, environ 850 000 logements, sur la base des chiffres au 1ᵉʳ janvier 2023, sortiront du statut de passoire énergétique, c’est-à-dire des classes F ou G du DPE. Une évolution significative, notamment dans le cadre des obligations de location et des restrictions imposées aux logements trop énergivores.

Le DPE joue en effet un rôle essentiel dans le marché locatif : il informe les futurs locataires sur la performance énergétique du logement et détermine la possibilité ou non de le louer selon sa classe. Pour les propriétaires, un bon DPE valorise le bien, facilite sa mise en location et peut influer sur le niveau de loyer.

À partir du 1ᵉʳ janvier 2026, tous les nouveaux DPE ou audits énergétiques édités intégreront automatiquement le nouveau coefficient. Les diagnostics réalisés avant cette date — en 2025 ou antérieurement — resteront valables.

Enfin, cette réforme vise également à mieux cibler les aides à la rénovation énergétique.
En favorisant un gain d’étiquette plus important pour les logements chauffés à l’électricité, elle encourage les propriétaires à remplacer leurs chaudières fossiles par des pompes à chaleur.

Ces équipements, décarbonés, compétitifs et performants, représentent aujourd’hui une solution de référence pour chauffer et climatiser durablement les bâtiments.

Rillieux-la-Pape : un parc immobilier attractif et adapté aux nouvelles exigences énergétiques

Sur la commune de Rillieux-la-Pape, de nombreux logements bénéficient du chauffage urbain, une solution collective et efficace, tandis que les constructions plus récentes profitent déjà des normes d’isolation actuelles. Cela permet au parc immobilier local d’être moins impacté par la problématique des passoires énergétiques.

La demande locative y reste soutenue, portée par la proximité avec la métropole lyonnaise et la qualité de vie du secteur.

La Régie Rosélie se tient à la disposition des propriétaires et investisseurs pour les accompagner dans leurs projets immobiliers à Rillieux-la-Pape et ses environs, qu’il s’agisse d’achat, de location ou de gestion de bien.

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